Un groupe de commerçants artisanaux informels sur place a demandé la validité de son projet dans la région de Stellanbosch, alors qu'il avait été commercialisé il y a 18 ans. Ils ont été libérés le 16 janvier et sont aujourd'hui un lieu de commercialisation et de gestion digne de la vie. Après avoir été expulsé en février de cette année par la municipalité locale, qui a fait quelque chose sur une église locale, la municipalité a promis à ces commerçants aventuriers des sites alternatifs de négociation, mais il n'a pas eu lieu aujourd'hui en lograrlo.
Le dernier recours des commerçants a décidé de revenir sur leur site d'origine ce mois-ci, le 11 juin 2013, et d'installer leurs points avant les conséquences imminentes et attendues de l'autorité locale.
Ce n'est qu'un pas extrême, car il faut que le commerce soit une question de survivance, si ce n'est pour remédier à l'insensibilité et à l'action la moins souhaitable de la municipalité à la gravité de sa situation.
La police est allée et multó aux commerçants présente R800 par personne. Frustrés, nous pensons que ce processus doit durer beaucoup de temps et qu'il est supposé devoir maintenir sa famille.
La coalition des commerçants informels du Cap Occidental se coordonne avec la municipalité pour tenter d'attribuer un espace à ces commerçants qui veulent seuls entretenir leur famille et qui n'ont pas de source d'entrée.