Le Honduras s'organise pour célébrer le premier mois de mai unitaire à l'occasion de la fête historique du Jour International du Travail.
Les activités sont multiples au premier jour de mai, réunions de coordination, nombration des commissions, élaboration de commandes, pancartes avantageuses à l'objet de la célébration et protestations pour les atropelles des droits humains, à haut coût de la vie, faute d'emploi et de travail digne, notamment pour les femmes, pour la criminalité, la corruption, la faute politique et la loi de transformation agraire et également pour l'impunité.
Par les manifestations de protestation actuellement exécutées par les syndicats autonomes des institutions décentralisées, de santé, d'éducation, ENEE, SANAA et d'autres de grande importance et le paro civico accompagné de la mobilité, convoqués par les trois centrales existantes dans le pays, que le Le 19 avril, il a paralysé 90% des usines, des services et des institutions autonomes et semi-automatiques dans les principales villes du pays, mobilisant des kilomètres de travailleurs/comme et réclamant, révisant le salaire minimum et le payant au plus haut coût. de la vie, maire et meilleurs salaires et respect des droits humains et une réforme agraire intégrale.
Le gouvernement et ses appareils de répression, la police, l'exercice national et les bandes armées des terres et des ganaderos répondent en assurant la représentation des compagnons du département d'Aguan de Colon, Cortes et Yoro.
Le Gobierno, la police nationale et les terres, vinculés à la réception, ont été inscrits au parti Liberté et remboursement (Libre) de promouvoir la lutte pour la terre de propriété supuesta des grands latifundistes nationaux et internationaux.
Pour nos invités, nous sommes intuitions que la fête soit une étape dans ce dicho populaire.
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Les trois centrales opérationnelles CGT, CTH et CUTH ont coordonné la réalisation de mouvements sur l'ensemble du territoire national, avec la priorité de concentration des forces dans les villes principales, Tegucigalpa, capitale politique et San Pedro Sula, capitale industrielle du Honduras, qui garantissent une mobilisation de transcendance. Les niveaux national et international n'ont pas de vue sur le Honduras depuis les années 70.
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En vertu de la répression sélective et massive de ce mois d'avril, les différents syndicats et mouvements populaires du Honduras, nos promoteurs, nos organisateurs et nos mouvements, ont pris toutes les mesures de sécurité et de dialogue permanent, préviennent et évitent les actes de répression et le derramamiento de sangré.
Vive le jour du travailleur hondurien et du monde !
L'UNITÉ EST NOTRE MÉTA.
FOTSSIEH-CUT
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