NASVI appelle le public à envoyer des cartes postales à la présidente du Congrès, Sonia Gandhi, pour l'adoption du projet de loi sur les vendeurs ambulants lors de la session de la mousson
L'Association nationale des vendeurs de rue de l'Inde (NASVI) appelle toutes ses organisations membres, amis, sympathisants et sympathisants à envoyer des cartes postales à la présidente du Congrès, Smt Sonia Gandhi, pour l'introduction et l'adoption du projet de loi tant attendu sur les vendeurs de rue (protection des moyens de subsistance et réglementation de la vente de rue) lors de la session de mousson du parlement.
Le gouvernement a déjà approuvé le projet de loi remanié. Il ne faut plus attendre avant de le présenter et de l'adopter.
Une législation centrale inclusive est essentielle, car elle permettrait de mettre un terme à la victimisation croissante des vendeurs de rue dans les villes et les villages par les autorités municipales et les forces de police.
Depuis l'élaboration de la Politique nationale sur les vendeurs ambulants en milieu urbain en janvier 2004, plus d'un million de vendeurs ambulants ont été déplacés au nom de tel ou tel projet de développement ou au nom des campagnes d'embellissement des villes. Les Jeux du Commonwealth de 2010 ont frappé des milliers de vendeurs dans la capitale nationale.
Cette année, les vendeurs ambulants et les marchands ambulants ont dû faire face à une intervention policière brutale à Mumbai. Un grand nombre d'entre eux ont été déplacés et un vendeur de fruits, Madan Jaiswal, est décédé d'une crise cardiaque lors d'une intervention policière. La jeune fille du vendeur décédé est également décédée des suites d'un traumatisme. L'incident a donné lieu à une série de manifestations, mais les policiers accusés sont restés impunis.
Le niveau de violation des droits est tel qu'il porte atteinte aux droits fondamentaux des vendeurs de rue, notamment le droit à la dignité sociale dans l'emploi et les droits individuels au travail et à la non-discrimination. Dans de telles circonstances, la subsistance dans la dignité, l'éducation et la santé des membres de la famille des vendeurs de rue deviennent une lutte pour la vie.
Plus de retard !
Adoptez une loi centrale pour la protection des moyens de subsistance !